lundi 1 septembre 2008
Fête du far, la règle du concours
La règle est simple. Tout le monde peut participer, il suffit d'avoir un four, un plat, quelques œufs, un peu de lait (entier !), du sucre et de la farine.
La liste des ingrédients supplémentaire est tenue secrète : rhum, vanille, fleur d'oranger, cannelle...
Qu'est-ce qu'on gagne ? Une bonne soirée et un moment de gloire. Aucun far n'est raté, aucun far n'est mauvais, à Penthièvre on cultive les "différences".
Le jury du far, mardi 5 août, avait fort à faire avec 12 productions artisanales d'excellente qualité.
Désolés pour Catherine et Bruno Dagorne, nos boulangers, tenus à l'écart de cette compétition qu'ils auraient remportée avec trop de facilité.
Bravo aux innovateurs : far aux raisins secs, far aux abricots... Ils ont toujours l'avantage de surprendre le jury, souvent gavé de pruneaux.
Pruneaux qui facilitent la digestion ; ça tombe bien car le far est un gâteau plutôt nourrissant, bien adapté aux grands efforts des sportifs de Penthièvre : tennis, kayak, kitesurf, planche à voile, dériveurs mono et multicoques, bains quotidiens dans des vagues de 2 mètres...
Quel est le classement du crû 2008 ? Je compte sur Marie pour me le transmettre, afin que je le mette en ligne.
Hélène
PS : On devrait distinguer "far tiède" de "far froid", car les étourdis qui ont fait leur far au dernier moment, en raclant de vieux restes dans les armoires voisines, ont été hyper bien classés. Pourquoi ? Leur far est arrivé très odorant car encore brûlant pour certains (n'est-ce-pas, Anna, médaille d'Argent ?)... et savoureux. Moi même je fais souvent tiédir mon far avant de le servir aux invités.
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